Septième et dernier post de la série, dédié aux années lycée.

Cette période a été l'occasion de quelques gribouillages :

- les mots issus soit du film "Les Visiteurs", soit des délires avec mon voisin de terminale Michaël 

- Un logo avec mes initiales, affiché dans mon casier et orné d'un moustique signé Marie-Laure : 

- deux danseurs sortis du stylo lors d'un cours soporifique, sans que réellement je ne m'en rende compte. J'ai tenté d'en faire une série, sans succès à mes yeux. Il devait manquer l'endormissement dont était issu l'original

La fin du lycée correspond également à la fin de la vénération des idoles. A part le dernier album de Johnny dans la CD-shopping-liste, il reste de cette époque quelques dessins :

En 3ème, je n'aime pas la prof de dessin, et ça se voit !

A l'exercice de "choisir un mot et de le représenter aussi bien avec le fond qu'avec la forme", je réponds par une belle ... cochonnerie ! Commentaire de la prof : "L'ensemble n'est pas assez trravaillé". Je me rappelle de ma remarque faite à mes voisins : "Ah bon ? Il fallait que je fasse un truc encore plus sale et plus bâclé ??"

 

Toujours bâclé mais dans un sujet encore cher à mes yeux (le derby est ce soir, et je serai au stade !!!) : ma vision de "La Foule, espace personnel [poésie, humour insolite]" :

Seulement 2 réalisations un minimum travaillées à l'époque :

- un triptique obtenu par pliage de feuille puis découpe d'un bord. On a su après découpe qu'il fallait dessiner en se servant de la forme obtenue : exercice d'imagination assez marrant.

 

- Un photo-montage avec pour consigne la perspective

En 4ème, quelques anecdotiques travaux scolaires, comme cette Formule 1 en flêches pour rendre l'impression de vitesse.

Il y a aussi cet exercice autour d'un (Maurice le) chat. Le but était de faire un rébus, et d'avoir en plus une illustration du mot formé. J'avais ajouté l'effet de fenêtre avec le chat sur le rebord

Mais la 4ème, c'est surtout pour moi le début d'une période de vénérations, qui se prolongera jusqu'au lycée (Le dessin de la Ferrari date de l'année de la terminale, par exemple) :

 

En 5ème, Mickey a 60 ans et moi 11 feutres Reynolds :

J'ai également une camarade de classe avec qui je me bats les meilleures notes en dessin. Je crois qu'on avait pris la même carte postale dans un exercice de copie, et qu'elle avait eu 1 point de plus car mon dessin était "trop clair". Bonjour à toi Alexandra, si tu passes par ici !

Cette année-là, je m'essaye à l'intégration de jaune et de violet dans la rivière, après avoir vu cela sur le tableau pendu en face des escaliers en colimaçon qui descendent de ma chambre.

 

 J'allais renouveler cette technique plus tard (période lycée ?) dans une peinture toujours inachevée :

Troisème volet des dessins de ma jeunesse. On entre dans les réalisations faites au collège, que ce soit  en cours ou à la maison.

En 6ème, Lucky Luke devient en couleur et troque sa cigarette contre en brin de paille ...

De mon côté, j'essaye de faire des dégradés invisbles sur une coquille d'oeuf .... on est encore loin des textures de peau que réalisaient Léonard De Vinci à 20 ans !

C'était bien sûr les débuts des exercices imposés, comme l'illustration d'un conte, ou comme l'inévitable initiation au moucheté de brosse à dent.